R EPONSES A VOS QUESTIONS

LES PLUS FREQUENTES

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¤ Dois-je croire à toutes ces approches pour souscrire un contrat ?

Sur tous ces sujets, les demandes sont de plus en plus nombreuses. Même si vous êtes sceptique, il est important de comprendre de quoi il s'agit pour être en mesure d'argumenter correctement en face d'un interlocuteur.  Deux attitudes sont possibles : rejeter la demande sans argumenter, par méconnaissance du sujet ou engager un dialogue constructif en toute connaissance. Tel est l'intérêt de l'information (ou formation).

... Et, ce qui n'est pas recevable aujourd'hui, peut le devenir ultérieurement. Pour bien suivre les évolutions (rapides et nombreuses), il est préférable d'avoir une source objective et sûre. Tel est l'intérêt de la veille technologique.

¤ En tant que professionnel de la construction, quel est l'intérêt pour moi de souscrire un CONTRAT de "PRESTATION C+R" et "d'USAGE de la MARQUE et des LOGOS C+R" ?

La marque collective "CONSTRUIRE PLUS RESPONSABLE" a  notamment été créée pour être un point de repère pour les clients qui recherchent des professionnels "plus engagés".

Pour vous, professionnel, l'intérêt est double :

1. Avoir une véritable connaissance et une réelle compréhension de l'impact sanitaire de vos choix de conception ou de construction sur les futurs occupants., en dehors des connaissances officielles C'est l'objectif du Contrat de PRESTATION C+R.

2. Vous signaler auprès des clients à la recherche d'une nouvelle approche de la construction et faire reconnaître votre démarche supplémentaire, volontaire et responsable, par une marque et des logos. C'est l'objectif du Contrat d' USAGE de la MARQUE et des LOGOS.

De notre côté, cela nous permet de faire évoluer plus vite  cette approche en mutualisant les expériences dans des domaines vraiment très variés, sans le blocage ou l'inertie inhérents aux démarches de groupes. Il faut bien être conscient que nous évoluons dans un domaine  qui manque cruellement de moyens humains et financiers pour valider, ou parfois  modifier, les principes que nous défendons.

¤ Peut-on m'imposer des idées même si je ne les approuve pas ?

Absolument pas. Dans la mesure où il n'existe pas de reconnaissance officielle, il ne peut y avoir d'obligations légales. La démarche consiste à vous apporter des éléments de décision mais c'est bien vous qui décidez en final.

Il faut bien comprendre que nous ne pouvons rien imposer, dans l'état actuel des (re)connaissances scientifiques. Notre rôle consiste à informer globalement, sans conflit d'intérêt et autre subjectivité. Pour prendre un exemple concret , lors d'une étude des rayonnements électromagnétiques :

1. Nous mesurons des valeurs : seul ce premier point ne peut être controversé.

2. Nous indiquons la norme française : par exemple, pour la composante électrique, le seuil maximum est de 5000 V/m pour le 50 hertz.

3. Nous indiquons les normes étrangères et celles en Prévention Prudente. Ici, 10 V/m maximum (soit 500 fois moins !) suite au rapport Bio Initiative (compilation de 1500 études mondiales).

A partir de là, nous ne faisons aucun commentaire et laissons à notre mandant le soin de décider ce qu'il convient de faire. Il a tout à fait le droit de dormir sous une ligne à Très Haute Tension de 400 000 Volts, dans la mesure où il se trouve à plus de 6m sous les conducteurs.... pour des raisons de sécurité. Même si nous relevons des centaines de V/m dans son lit...

D'autre part, il faut reconnaitre qu'il existe trop d'incertitudes des connaissances dans ces domaines, en perpétuelle évolution  Pour prendre un exemple concret : Le médecin Allemand à l'origine de la géobiologie dans les années 1920, le DR Hartman, a découvert l'existence d'un réseau géomagnétique nocif, qu'il a nommé réseau H. Pendant près d'un siècle, l'obsession du géobiologue a été de placer le lit en dehors de ce quadrillage magnétique. Or depuis quelques années, nous avons compris que ce n'est pas ce réseau à base de nickel qui est nocif (bien au contraire, le réseau natif participe à notre bon fonctionnement biologique et fait probablement partie du chi dont parlent les chinois) mais c'est sa propension à capter les pollutions électromagnétiques qui le rend nocif. Aujourd'hui, nous cherchons à régler le problème électromagnétique pour traiter cette nocivité. Le constat de départ était juste mais c'est l'explication qui ne l'était pas.

¤ Dans le contexte de crise actuel, est-ce bien le moment d'engager une telle démarche ?

C'est bien dans de telles périodes, qu'il est nécessaire de vous démarquer de vos confrères. A court terme, cette démarche sera donc profitable. D'autre part, la demande est croissante. L'avenir appartient aux professionnels de la construction qui iront au-delà des obligations légales, pour réaliser de véritables "constructions biotiques*". Dans l'avenir, cette démarche sera incontournable. Pour ces deux raisons, soyez les premiers à vous engager.

                               *Biotique = milieu favorable au développement de la vie

¤ Puisque rien ne peut m'être imposé, quelle crédibilité m'apporte cette marque ?

Le diplôme d'état signale qu'un architecte a reçu une formation classique. Notre marque signale qu'il reçoit une formation complémentaire et non obligatoire, dans le domaine de la santé dans la construction. Ensuite, l'interprétation qu'il fait de ses diverses formations dépendent de sa personnalité et de sa vision de la construction. En final, les porteurs de projet doivent choisir un architecte avec qui ils ressentent des affinités.

¤ Pourquoi avoir choisi la formule de la MARQUE COLLECTIVE ?

La notion de "label" est très réglementée dans l'alimentaire, mais beaucoup moins dans les autres secteurs. Alors, beaucoup créent des "labels privés" qui peuvent induire une confusion dans l'esprit du grand public. Nous avons fait le choix, pour ne pas être "déceptif" selon le terme de l'INPI, de ne pas entrer dans cette démarche. Dans notre domaine qui comprend techniquement beaucoup de zones d'incertitude, nous devons être très clairs dans notre communication vers l'extérieur.

Une marque collective permet de regrouper sous la même bannière des personnes partageant la même démarche, créer une synergie, une identité et mutualiser les expériences. Elle permet également une liberté d'action entre personnes responsables.

Ce choix s'est révélé de toute façon  le seul possible. Aucun organisme officiel ne peut se positionner comme organisme de contrôle, puisque la plupart de ces sujets ne font pas l'objet de reconnaissance officielle et relèvent de la Prévention Prudente.
Il faut être bien conscient qu'un concept de Prévention Prudente, ne peut être validé officiellement, s'il n'existe pas une réelle volonté politique de le faire. (ce qui est peu le cas en France par rapport aux pays nordiques). A partir de ce constat, il est vain de tenter d'obtenir une reconnaissance officielle. Il se trouvera toujours un expert, plus ou moins impartial, pour bloquer le processus. L'autre solution consiste à édulcorer son discours, pour le rendre acceptable... et revenir au HQE, au BBC et autre BEPOS.

En conclusion, cette démarche s'est révélée la meilleure à ce jour. Nous espérons que l'évolution des mentalités nous permettra  d'améliorer encore notre démarche dans l'avenir. Dans cette attente, ce que nous avons mis en place a le mérite d'exister et de pouvoir fonctionner avec une réelle efficacité. Pour que la marque ne soit pas "déceptive", elle doit faire l'objet d'une communication claire et sincère. C'est ce que nous nous engageons à faire et ce que nous demandons par contrat à nos clients, pour ne pas nuire à la marque.

¤ Comment se situe la marque par rapport à tous les labels déjà existants (HQE, Effinergie, etc.) ?

Tous ces labels ont un réel mérite car ils permettent de  réaliser et faire valider des progressions déjà appréciables. Mais comme évoqué précédemment, pour être recevables officiellement, ils ne peuvent que valider des connaissances reconnues et ne peuvent intégrer des nouveautés que très longtemps après leur apparition.  Par exemple, la géobiologie reconnait et agit sur les rayonnements électromagnétiques depuis plus de vingt ans, alors que le débat n'est qu'à son commencement dans les filières traditionnelles (et encore sur les nocivités venant de l'extérieur ce qui ne nous parait pas le plus important....) Nous pourrions évoquer encore le débat sur l'amiante, commencé au début du XXe siècle (1906) et dont l'interdiction (en France) a dû attendre 1997. Notre approche d'électron libre nous permet de nous affranchir de tout carcan : il nous faut toutefois agir avec prudence pour ne pas tomber dans l'excès inverse. Intervient ici la notion de Responsabilité. Dans un premier temps, notre démarche doit venir en complément des  labels officiels, avec l'objectif de les faire évoluer.

Pour bien comprendre la situation, il suffit d'établir un parallèle avec l'agriculture qui a déjà vécu ces évolutions :

- L'agriculture conventionnelle est à assimiler à la filière traditionnelle du bâtiment, c'est-à-dire le respect strict des normes, ni plus ni moins... avec les conséquences que l'on connait : les pesticides et la "malbouffe" pour les uns et l'amiante et le Syndrome des Bâtiments Malsains (SBM) pour les autres. Sans commentaire.

- L'agriculture Biologique est à assimiler aux labels officiels du bâtiment. Seules les notions concrètes sont considérées, ce qui est déjà bien. Mais des notions qualitatives comme la valeur gustative, la valeur énergétique, etc... ne sont pas intégrables, pour ce qui est de l'agriculture. Des notions comme l'énergie cosmo-tellurique, le feng Shui, l'influence des failles, les pollutions électromagnétiques,etc... ne sont pas prises en compte, pour ce qui est de la construction. Cette démarche résulte, soit d'un choix pour tenter de faire mieux sans avoir à gérer trop de difficultés, soit simplement d'une ignorance.

- Une autre démarche existe : certains agriculteurs, en plus d'appliquer les concepts de l'agriculture biologique, cueillent leurs fruits "mûris à point" (mais comment le définir en équation?), dynamisent leur production,(absolument pas reconnu officiellement),  composent avec la lune, travaillent la terre en conscience, etc... et leurs clients responsables consomment les fruits et légumes de saison , d'origine locale (respect des rythmes biologiques du corps),  dynamisent leur eau de boisson, mangent dans un environnement calme, etc... Cette approche physique, énergétique et psychique, ainsi que responsable, peut être comparée à la nôtre dans le domaine de la construction. Cette démarche est plus ambitieuse et altruiste mais moins confortable : beaucoup d'incompréhension, de doutes et peu de moyens humains et financiers mis à notre disposition. Elle dépend malheureusement beaucoup des personnes qui l'entreprennent, en positif ou en négatif. Il est évident qu'elle ne peut concerner que des personnes ayant une réelle motivation au départ : des convictions similaires ou une véritable ouverture d'esprit.

¤ N'est-il pas utopique de vouloir imposer ce point de vue non conventionnel dans le monde industriel ?

Il ne s'agit absolument pas d'imposer, mais de proposer.  Nous avons compris depuis longtemps que si le message ne faisait pas écho immédiatement, il était inutile d'insister. Chacun a le droit de penser ce qu'il veut. Par contre, si l'interlocuteur est en demande, notre point de vue l'intéresse immédiatement. Le principal pour lui est de connaitre l'information mais aussi de trouver un  partenaire fiable, tant il est vrai qu'il peut être dit tout et son contraire dans notre domaine si peu réglementé. Nous pensons que mettre désormais en pleine lumière notre approche, permettra, d'éliminer les acteurs"les moins sérieux" et de faire évoluer plus vite les connaissances dans un milieu  parfois "hostile" plutôt  que devant un public conquis à l'avance.

¤ Dans ce contexte qui parait si peu réglementé, pourquoi accorder ma confiance à GCB Conseils ?

Philippe Bouchaud, dirigeant de GCB Conseils, est un des rares spécialistes en France de la santé holistique dans la construction, alors que dans ce domaine, l'approche est souvent segmentée et  limitée aux préconisations officielles. (hygiène et salubrité). Cartésien de formation et après un parcours de 25 années dans le monde industriel, il s'est ouvert à ces nouvelles notions tout en gardant l'esprit très critique pour ne pas verser dans l'excès inverse (Notion du juste milieu). Il constitue une excellente interface entre cette approche  peu conventionnelle et le monde industriel.

La démarche qu'il propose n'est toutefois pas autoritaire comme expliqué précédemment : L'objectif consiste à vous permettre d'agir non plus par ignorance mais par choix, en considérant que vous et vos clients êtes des gens responsables.

Citation de Scott Fitzgerald : " Le signe d'une intelligence supérieure est de pouvoir entretenir simultanément dans son esprit deux idées contradictoires et de continuer à agir".

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